mercredi 31 octobre 2007

mardi 30 octobre 2007

Une petite pomme et un petit "T"

Je roulais sur l'autoroute récemment lorsque j'ai aperçu quelque chose qui m'a fait sourire : une Toyota Prius qui avait sur son pare-chocs arrière un collant en forme de pomme blanche, celle de Apple.

Quel bel exemple de l'homme moderne-branché-accompli d'aujourd'hui!

Soucieux de l'environnement, cet homme (supposons que c'est un homme) s'est procuré une magnifique (...) Prius qui représente à la perfection la tendance à "virer au vert".

Pour sa part, la petite pomme représente plutôt un mouvement de libération et de démocratisation de l'informatique. Non-conformiste, puisque Apple ne possède encore qu'une faible partie du marché des ordinateurs, cet homme s'assume et supporte cette compagnie tellement cool. Je vais expliquer un peu mon point, avant qu'on ne me lapide!

Vous aurez peut-être déjà remarqué la passion enflammée de nombreuses personnes pour leur iPod Nano, leur iPhone ou leur iMac. Ce n'est pas que ces appareils soient iPoches ou bien que je m'en iCâlisse, c'est tout simplement que je trouve amusante la dévotion de ces personnes pour du matériel qui, sans les stratégies marketing de Apple, seraient demeurés au rang de "appareil plaisant pour écouter de la musique ou travailler".

Je suis utilisateur de PC, mais je iAime quand même Apple...

lundi 29 octobre 2007

Sacrifier la spontanétié

Produire plus, plus vite, pour moins cher. Voilà une devise très louable, mais qui n'a évidemment pas que des avantages.

Les besoins, quoique je ne suis pas certain que ce soit le bon mot, grandissant des populations mondiales exigent sans arrêt plus de nourriture, plus de vêtements, plus de jouets, plus de mégaproductions hollywoodiennes (ok, "besoin" n'est pas le bon mot...), etc.

Les sociétés s'ajustent pour combler tous ces besoins (pour empocher toute cette argent)et ces changements entraînent des nouveautés parfois déplorables. Une de celles-ci est le fait que la spontanéité semble s'estomper tranquillement : tout devient protocolaire, des standards régissent les éléments visuels, des règles de conduite trop présentes assurent une rigidité excessive dans nos relations professionnelles...

Tout grossit, tout devient de plus en plus impersonnel. Les producteurs de films, par exemple, doivent à tout moment surveiller les images qu'ils prennent et les dialogues qu'ils écrivent pour ne pas froisser un groupe de protection de je ne sais plus quoi. Les gens qui doivent parler en public (ou les personnalités publiques) sont sujets à des poursuites (pour des pacotilles, bonjour les É-U.!).

Bref, je trouve dommage que pour demeurer dans la course, les sociétés doivent en quelque sorte sacrifier la spontanéité au profit de l'efficacité.

vendredi 26 octobre 2007

Paranoïa imminente (ou éminente?)

Ah qu'il fait bon passer des heures sur le campus universitaire. Que les cours auxquels nous assistons soient passionnant ou ennuyant, il atteignent très souvent leur objectif de nous goinfrer la caboche de nourriture intellectuelle, de notions théoriques et pratiques. Les cours sont tellement efficaces qu'ils sont en train de rendre certains étudiants (je me compte là-dedans) quasi-paranoïaque.

On dit "imminent", ou "éminent"? "Au niveau de", quand est-ce que c'est "légal" de le dire? "Opérer", que dire... Combien de fois est-ce que nos oreilles vibrent d'incomfort lorsque l'on entend un verbe mal conjugué à la suite d'un "si"?! Très souvent.

Je dis tout ça à la blague bien sûr, évidemment je suis heureux de constater que je retiens au moins une partie de ce qui m'est enseigné à l'université. Il faut seulment faire attention de ne pas devenir tros déplaisant en essayent de coriger toutes les phôtes de français tous le tant! ;)

jeudi 25 octobre 2007

Il but un parfum

Il feignait la présence d'esprit. Il feignait de boire les paroles. Pourtant, c'était le parfum qu'il buvait. Cet exquis mélange de rêve et de douceur l'emmenait loin, très loin.

Pendant un instant, il retrouva la volupté d'antan, les délices de jours passés. À la grâce d'une existence qui en vaut la peine s'emmêlaient des tourbillons de passion et d'inspiration.

Hélas, tout comme l'âme qui le portait, le parfum s'évanouit dans le néant, ramenant l'être malheureux dans un monde froid et sans intérêt.

mercredi 24 octobre 2007

Guerre de cours d'école

Parfois, j'ai l'impression que la politique se joue dans une cours d'école primaire. Il y a Ti-Pit Charest, chef de la gang des rouges, Marois la Menace, finalement leader de la gang des bleus, et Superstar Dumont, le petit coq étoile montante (il vient de quitter la gang des rejets) qui dirige la troisième gang (quelle couleur déjà?).

Ça me désole de voir que les politiciens ne se limitent pas à faire valoir leurs compétences à diriger notre nation, mais qu'ils utilisent plutôt leur temps à rabaisser l'autre, à exiger des excuses, à montrer du doigt celui qui vient de faire un moins bon coup. Calv*ire, le but n'est pas de se "chi*r" dessus, mais bien de travailler pour faire évoluer le Québec!

Imaginez si toute l'énergie qu'ils utilisent pour se chamailler et se défendre était plutôt utilisée pour trouver des solutions et améliorer notre société! Wow...

lundi 22 octobre 2007

La fête, le congé

Ai-je besoin d'en dire davantage? Je profite aujourd'hui d'une quasi-journée de congé! Je ne suis quand même pas pour écrire un message sur mon blogue, ça serait en quelque sorte ne pas assumer autant que possible le congé!

Ah!

vendredi 19 octobre 2007

Reflets de murmure sur la glace

C'est confortablement assis dans mon petit monde, au milieu de quelques autres, que j'aperçus des reflets de murmure sur la glace. Ce n'était qu'un instant, qu'une inspiration. Le temps de m'en imprégner et c'était déjà terminé.

Je suis éventuellement revenu à moi, pour atteindre le bout de la route qui me menait au point de départ.

jeudi 18 octobre 2007

Se perdre, pour mieux trouver

Simplement trouver son chemin n'est jamais aussi plaisant si nous ne nous sommes pas perdus d'abord.

Trouver une réponse n'est jamais aussi satisfaisant si nous ne nous sommes pas égarés au préalable.

Je crois que souvent, pour bien saisir la profondeur des situations, des problèmes ou des lieux, il faut se perdre pour vraiment bien trouver son chemin.

mercredi 17 octobre 2007

Valorisation matérielle

En quoi, vraiment, est-ce que les possessions matérielles peuvent aider à avoir une bonne estime de quelqu'un? J'imagine que l'on peut supposer que si une personne possède un tas de belles choses dispendieuses c'est qu'elle est une personne "de qualité", qu'elle a la force de caractère nécessaire à l'alimentation de ses ambitions.

Mais en même temps, les gens qui veulent trop m'effraient, surtout ceux qui veulent trop d'argent ou de pouvoir. Certaines personnes sont prêtes à aller très loin pour parvenir à leurs fins. Alors, je change mon argumentation de ses, certaines personnes riches ont probablement ramassé leur magot en étant égocentriques et en donnant quelques "coups sous la ceinture".

Alors, je me repose la question, est-ce que les possessions matérielles peuvent (doivent) nous aider à avoir une bonne estime de quelqu'un? Certaines gens devraient se poser la question...

mardi 16 octobre 2007

Trace de doigts sales

Il y a une belle petite vallée derrière chez moi. Elle tire en partie son charme du fait qu'il n'y a que très peu d'habitations et de commerces.

Quelque chose m'a toutefois fait craindre le pire récemment : une affiche d'une certaine Gina Dubé est fichée dans le grand terrain inhabité de la vallée. Ça n'est pas une affiche qui prône la protection des milieux naturels ou quelque chose du genre, non, c'est une affiche de vendeuse de terrain! J'espère qu'aucune nouvelle construction ne viendra salir ma vallée!

La présence de l'homme est souvent, selon ma perspective, comme des traces de doigts sales dans les magnifiques paysages naturels.

lundi 15 octobre 2007

Constat sur la vieillesse

Nombre de plis se forment dans la peau, les articulations se tordent et crochissent, le dos se voûte et les jambes sont moins sures qu'avant... C'est triste de réaliser tranquillement que la base de la vie est le changement, la mort.

Nul n'est dupe, marcher à l'aide d'une cane n'est pas signe de vigueur, passer à la marchette ne signifie pas non plus que la personne âgée évolue vers un véhicule de luxe! La régression est visible, et malheureusement, celle-ci ne s'effectue pas toujours sur des dizaines d'années, mais plutôt sur quelques courtes années.

D'êtres dépendants et fragiles nous sommes passés à des individus indépendants et en santé, mais nous retournons, inexorablement, vers l'état primaire.

vendredi 12 octobre 2007

Mêmes endroits, différents moments

J'aime comment les endroits, sans nécessairement changer, peuvent procurer des perceptions différentes d'une fois à l'autre. Un simple petit changement de luminosité, de vents ou de température, et voilà que le lieu qui nous faisait sentir serein nous donne maintenant une impression de mystère.

Un petit jogging nocturne sous une fine pluie m'a fait voir une autre facette de la petite vallée derrière chez moi. Habituellement agité de voitures, l'endroit affichait hier une quiétude enivrante. Occupé à faire plaisir à d'autres Terriens, le soleil était remplacé par de tièdes gouttelettes et une noirceur parfois transpercée de l'éclairage jaunâtre des lampadaires.

Comme quoi les endroits qui nous semblent banals peuvent s'avérer être tout autre!

jeudi 11 octobre 2007

Une victoire du CH!

Le hockey c'est important, ici. La preuve, le Canadien a gagné hier contre les Pinguins de Pittsburgh et on peut aujourd'hui en entendre parler à toutes les émissions d'information, dans tous les journaux et dans tous les sites web d'information (et beaucoup plus).

Imaginez-vous la polémique que ça causerait si l'organisation du Canadien décidait de changer le logo? Même un tout petit peu, disons, le petit coin du bout de la bas d'en bas du "C". J'aurais peur pour leur vie! Ok, peut-être leur vie ne serait-elle pas menacée, mais combien de lettres injurieuses pourraient-ils possiblement recevoir?

Y aurait-il trois ou quatre fans pour applaudir le geste?

mercredi 10 octobre 2007

Outside of these walls

I wonder how it really is, outside of these walls. The thing is that I've been here for as long as I can remember... I'm pretty sure I was born here.

Is everything as I've been told? I mean, I read stuff, I've seen pictures and videos, but I've never actually been outside. The worst is that nobody ever came inside neither.

If only someone could walk right through and visit me.

mardi 9 octobre 2007

Promenade improvisée

C'était en ce jour d'action de grâce que je me rendis, sans intention de rendre grâce à quiconque, au sanctuaire de Beauvoir. Je voulais aller changer d'air un peu et admirer le paysage pendant quelques minutes.

Juste de m'y rendre amorçait ma relaxation.

Une fois sorti de la voiture, je savais que cet air automnal me ferait le plus grand bien. J'entrepris donc une petite promenade.

Le ciel était gris, mais pas gris morose, plutôt gris serein. L'air sentait les feuilles humides d'automne qui servaient de tapis coloré. Les grands arbres calmes et immuables proféraient à cette scène un sentiment de force titanesque tranquille.

J'en profitai pour prendre quelques grandes inspirations, qui emplirent mes poumons comme des bouffées salvatrices. J'étais prêt à accomplir de grandes choses!

Mais le temps s'est écoulé, et j'ai fini par aller me coucher.

lundi 8 octobre 2007

Question de mentalité

Il y a parfois beaucoup d'action dans nos têtes, un fouilli phénoménal dans une cage figée. Tant de mouvement dans quelque chose qui, physiquement, ne bouge pas du tout.

Ça peut tout changer. C'est une question de mentalité.

J'y pense souvent en joggant : "t'es pas fatigué, t'es léger, tu viens de commencer, tes jambes avancent d'elles-mêmes..." Notre situation "réelle" dépend en grande partie de l'image que nous nous en faisons. Notre monde est conditionné par l'interprétation que nous en avons, arrageons-nous donc pour voir les choses du moins pire oeil (puisque je sais qu'il n'est pas possible de toujours voir le monde d'un bon oeil).

Au fur et à mesure que je compose cette réflexion, je me rends bien compte que le sujet est plus vaste que je ne le croyais au début. Dans les activités physiques exigeants comme dans les situations moins plaisantes de la vie, tout est question de mentalité.

Alors faites aller ces petites cannes que sont vos jambes et dites-vous qu'elles vous porteront, inévitablement, inexorablement.

Je prends une autre direction le temps de quelques mots, pour dire que le monde et les événements, la dynamique de la vie, se contrefiche de notre soi qui occupe pourtant la place centrale dans notre perception de la vie. Constat défaitiste me direz-vous, pas du tout, vous répondrai-je. Cette vision des choses, plutôt que de décourager, doit amener à voir les événements qui nous arrivent comme des obstacles auxquels nous nous ajusterons. Point final. Ça sert à rien de baisser les bras, jamais.

Il y a donc lieu de nous demander de quelle manière nous acceptons (ou non) des événements avec lesquels nous n'avons, de toute façon, pas le choix de "dealer".

vendredi 5 octobre 2007

Une télévision sans fonction d'arrêt

Des images figées, de la vidéo, des chansons et des sons qui me surprennent parfois. Au moment où ma tête, jusque là fatiguée, commence à s'enfoncer dans la douillette oreiller de plumes, mon cerveau s'active : "Bonlalalala as-tupenséàçalà? C'passfaudraitpast'oublie, pis aussi, çaseraitvr'mentcoold'fairçad'main!!" En boucle. Sans arrêt. Tout d'un coup, les parasites dans mon cortex dévient et partent dans une autre direction. J'ai peine à suivre et à me rendre compte que je ne dors pas.

C'est comme une télévision sans fonction d'arrêt.

Ensuite, je ne m'en rends pas trop compte, mais je bascule tranquillement dans cet état de grâce qu'est le sommeil. MAIS NON! Je réalise tout à coup que j'étais en train de m'endormir ; la conscience reprend sa place en moi. Merde!

Je ne peux pas regarder l'heure sur mon réveil matin juste avant de m'endormir, mais je sais que très souvent le chiffre des heures a basculé une fois pour laisser place au suivant.

Je devrais peut-être faire plus d'activité physique, ou simplement changer ce vieux matelas quasi-centennaire!

jeudi 4 octobre 2007

Compression du temps

Je cherche encore cet outil pour comprimer le temps, quelqu'un l'aurait-il vu par hasard?

Ça serait très gentil de communiquer avec moi dès que vous le retrouvez. J'ai un monde à conquérir après tout! C'est pas évident tous les jours...

mercredi 3 octobre 2007

L'attente aride, puis la récolte surabondante

C'est un peu comme de marcher dans le désert pendant des jours, et des jours, et des jours... Sans eau, sans compagnie, le soleil brûlant asséchant notre carcasse. Et tout d'un coup deux oasis apparaissent sans crier gare, lorsque l'on croyait notre heure arrivée...

Nous n'avions plus rien, l'espoir envolé, et nous voilà l'instant d'après dans l'obligation de choisir entre trop de possibilités alléchantes. Que ce soit côté boulot, projets, amour, argent, ce genre de choses arrive.

Je suppose que lorsque quelque chose nous manque viscéralement, nous orientons plus ou moins consciemment tous nos faits et gestes pour accéder à ladite chose. Ou bien y a-t-il quelque chose au-delà? J'en doute fort! ... Je m'excuse auprès des fans de l'ésotérisme et de ce genre de trucs.

Ça me déçoit quelque peu. Ça me déçoit, je crois, parce que je me rends bien compte que je ne peux pas tout moduler à ma guise, je n'ai plein pouvoir que sur ma petite personne, et même encore, nous pourrions en débattre longuement!

Si ce n'était que de moi, j'alignerais les événements selon ma capacité à les asbsorber, je ferais se succéder les relations amoureuses pour qu'elles s'intègrent bien dans ma vie, je ferais s'emboîter les projets pour m'exalter physiquement et psychologiquement...

Mais je n'en ferai rien! Hep!

mardi 2 octobre 2007

Les dangereux qui veulent trop

Trouvez-vous qu'il y a des gens qui veulent trop? Qui veulent trop quoi? Qui veulent trop tout! J'observe souvent, de manière plus ou moins intéressée, les faits et gestes des dirigeants de notre nation, de notre pays, du monde... et je me dis parfois que certains sont dangereux parce qu'il semble leur manquer un petit quelque chose : le gros bon sens.

Certaines personnes, qui souvent se retrouvent au sommet d'une organisation, débordent de volonté, de passion et d'énergie pour leur cause. C'est bien, mais ça peut devenir nocif. Quand je dis ça, j'ai un exemple (trop) évident en tête : Hitler. Certains dirigeants parviennent à "convaincre" une grande quantité de personnes et ainsi les amener dans leur bateau. Le problème avec tout ça, c'est que lorsqu'un mouvement s'amorce, plusieurs indécis (moutons...) tendent à suivre la majorité, renforçant ainsi le mouvement, mais pas nécessairement pour les bonnes raisons.

Ça m'effraie parfois...

Je ne crois pas qu'un leader politique puisse, au Canada du moins, diriger une majorité de gens vers un gouffre ou autre précipice. Je crois toutefois qu'un leader politique d'un autre pays, où les mentalités divergent radicalement de ce à quoi nous sommes habitués, puissent entraîner une vague qui déferlerait sur les relations internationales et qui aurait un effet néfaste. N'y a-t-il pas un chef étrangement louche en quelque part en Corée (du Nord?)? Ahmadinejad, lui, je ne suis pas sûr de lui faire confiance non plus, mais est-ce juste dans ma (notre) tête?

Pouvons-nous croire que les 99,9% des habitants de la Terre veulent des relations internationales saines? Pouvons-nous espérer que la signification du mot "saine" ait sensiblement la même valeur partout sur cette planète?

mmm... permettez-moi d'en douter!

lundi 1 octobre 2007

Les choses qu'on pense faire, qu'on aimerait faire, qu'on devrait faire... mais qu'on ne fait jamais

Aujourd'hui plus que jamais, j'ai le sentiment de laisser de côté une foule de projets ou d'activités, faute de temps ou de motivation réelle. Il y a beaucoup de bonnes idées de projets dans l'air, mais à la fin de la semaine, je me demande souvent où sont passées toutes les heures.

Encore des questions! Je ne sais pas si c'est un trait de personnalité, du style "flan mou qui flôbe le temps", mais je crois avoir un talent pour le gaspillage de temps... ok, je ne lancerai pas de concours ici, je sais que plusieurs personnes excellent également dans ce domaine!

Cet été je me suis motivé mentalement et je me suis préparé à produire plus, à perdre moins de temps. Je crois que ça a marché un peu, mais je me rends bien compte qu'il me faudrait mettre quelque substance visqueuse dans mon sablier pour qu'il s'écoule plus lentement!